Pour souligner l’anniversaire de naissance du révolutionnaire cubano-argentin Ernesto Che Guevara, la jeunesse anti-impérialiste du monde entier s’engage dans une campagne de solidarité avec la République bolivarienne du Venezuela. En effet, comment mieux célébrer le Che qu’en montrant qu’aujourd’hui encore, la jeunesse est déterminée à accomplir son objectif de voir une Amérique latine libre et souveraine?
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vendredi 14 juin 2019
mercredi 8 mai 2019
Le peuple vénézuélien l'a affirmé de nouveau: "Guaidó n'est pas notre président"
Adrien Welsh
Saluons le courage, la détermination, la combativité et la réactivité du peuple vénézuélien, de sa jeunesse, des institutions et organisations qui les représentent pour s’être mobilisés devant la nouvelle action déstabilisatrice menée par les criminels, usurpateurs et fascistes Juan Guaidó et du repris de justice Leopoldo López.
Grâce à leur mobilisation, les Vénézuélien-nes ont empêché que cette action ne se solde en coup d’État perpétré par les supplétifs de l’impérialisme au Venezuela qui n’ont d’yeux que pour le pétrole et les ressources naturelles de ce pays et qui refusent que celles-ci lui bénéficient plutôt qu’aux actionnaires des entreprises multinationales.
Saluons le courage, la détermination, la combativité et la réactivité du peuple vénézuélien, de sa jeunesse, des institutions et organisations qui les représentent pour s’être mobilisés devant la nouvelle action déstabilisatrice menée par les criminels, usurpateurs et fascistes Juan Guaidó et du repris de justice Leopoldo López.
Grâce à leur mobilisation, les Vénézuélien-nes ont empêché que cette action ne se solde en coup d’État perpétré par les supplétifs de l’impérialisme au Venezuela qui n’ont d’yeux que pour le pétrole et les ressources naturelles de ce pays et qui refusent que celles-ci lui bénéficient plutôt qu’aux actionnaires des entreprises multinationales.
mardi 23 avril 2019
Caracas, capitale mondiale de la paix
Adrien Welsh
L’espace d’une semaine, du 9 au 14 avril derniers, Caracas s’est
convertie en capitale mondiale de la paix. Cette ville présentée comme l’antre
du diabolique et sanguinaire Maduro dans la presse vénale a accueilli une
soixantaine de jeunes représentant une trentaine d’organisations venues des
quatre coins de la planète à l’occasion du Conseil général de la Fédération
mondiale de la jeunesse démocratique.
À cette délégation se sont joints les
délégué-es du Conseil mondial pour la paix (dont l'organisation célèbre ce mois-ci le 70e anniversaire), formant ainsi une brigade de
solidarité avec le peuple du Venezuela qui, tels les irréductibles Gaullois résistent
encore et toujours à l’envahisseur… Sauf que la menace d’invasion est, cette
fois-ci, bien réelle.
mercredi 20 juin 2018
Unité et lutte contre le racisme et l'extrême-droite!
À l’occasion de la Journée mondiale des réfugié.es célébrée le 20 juin depuis l’an 2000 à la suite d’une décision prise par l’Assemblée Générale de l’ONU, la Fédération mondiale de la jeunesse démocratique a témoigné de son appui à la cause des réfugié.es, soulignant qu’en 2017, ce sont 68,5 millions de personnes qui ont été déplacées, soit une moyenne de 44 500 personnes par jour, ou encore 1 personne toutes les deux secondes. Pour la FMJD, le premier responsable de cette crise migratoire à inculper est l’impérialisme.
dimanche 20 décembre 2015
Journée internationale des migrants 2015: derrière la crise des migrants, il y a la crise du capitalisme!
Par Adrien Welsh
À l’occasion de la Journée
internationale des migrants du 18 décembre
2015, la Ligue de la jeunesse communiste du Canada joint sa voix à des milliers d’autres à
travers le monde pour exprimer sa solidarité envers les millions d’hommes, femmes et enfants contraints chaque
année à quitter leur pays, famille, foyer et emploi
pour causes de guerre, économiques ou
climatiques.
Cette année,
cette journée de solidarité arrive à point donné tant aux vues de la
conjoncture internationale que canadienne. Le capitalisme ne se remet pas de la
crise structurelle qu’il a connue en 2008. En
conséquence, la classe
dirigeante organise sa fuite en avant et doit garantir sa mainmise sur de
nouveaux marchés, sur l’accès aux
ressources naturelles et sur un bassin de main d’oeuvre bon marché. Pour se faire, la
bourgeoisie ne recule devant rien: les moindres poches de résistance aux plans impérialistes doivent être anéanties. C’est ainsi qu’après avoir financé des forces islamistes
soi-disant modérées pour combattre l’infâme Bashar el-Assad en Syrie, ne voilà-t-il pas qu’il faut intervenir sous la houlette de l’OTAN, bras armé de l’impérialisme,
parait-il pour des raisons humanitaires. On rappellera à juste titre que l’Irak abrite la 5e plus importante réserve de pétrole au monde.
C’est
ainsi qu’en plus d’avoir créé
plus de 200 000 morts depuis le début du conflit en 2011, ils sont aujourd’hui plus de 4 millions de déplacés dans la région du Croissant fertile.
En Ukraine, après avoir soutenu un coup d’État
fomenté avec l’aide d’éléments fascistes, l’Union européenne, l’OTAN et leurs alliés se sont réjouis d’avoir contribué à apporter la démocratie! Disons plutôt qu’ils se sont réjouis d’avoir
conquis un marché d’une importance capitale sur le plan géo-stratégique pour l’expansion de leur influence vers l’est. Pour garantir leurs arrières cependant, ils ont dû faire appel à une présence
militaire accrue en Europe de l’Est
et mener des combats sanguinaires qui ont fait plus de 6400 morts et 1,4
million de déplacés selon l’ONU, parmi lesquels 10 000 par jour traversent la frontière pour gagner la Russie voisine.
Le Canada en est partiellement responsable dans
les deux cas. En Syrie, le Canada a, sous la houlette des Conservateurs,
participé aux frappes aériennes et, maintenant, pense restructurer sa
mission en n’envoyant que des
fantassins soi-disant pour jouer un rôle de
formation. De plus, un contrat d’armement
de 15 milliards de dollars a été conclu entre le Canada
et l’Arabie Saoudite, l’un des principaux fournisseurs de l’État islamique. En Ukraine, le Canada
entretient 300 soldats comme force de réserve
au gouvernement illégitime et soutenu par
des forces fascistes de Kiev. Dans ces conditions, il est difficile de croire
en la bonne foi Libéraux, désireux de faire bonne figure après les dix ans de politiques racistes et xénophobes du gouvernement Harper, en promettant
d’accueillir 25 000 réfugiés
syriens - un chiffre par ailleurs dérisoire
en comparaison avec des pays comme la Grèce ou
l’Allemagne qui en ont,
jusqu’à présent, accueilli
respectivement 160 000 et 1 million.
Nous ne participons pas à ce marché
de dupes dominé
par des pompiers pyromanes qui se présentent comme humanistes parce qu’ils
accueillent quelques réfugiés alors qu’ils redoublent d’efforts pour mettre à feu et à sang l’ensemble du Moyen-Orient. Les crimes de l’impérialisme
ne peuvent être lavés. Ni Libéraux, ni Conservateurs, ni Néo-démocrates n’ont eu une position claire pour la sortie de l’OTAN et pour une politique internationale basée sur la paix et la solidarité
internationale. Comment peut-on alors croire en leur bonne
foi lorsqu’ils parlent de «devoir humanitaire» en accueillant quelques milliers de réfugiés
syriens?
Nous ne faisons pas partie de ceux qui ont
ovationné Angela Merkel lors de
son annonce, en plein congrès de
son parti politique, de ne pas fermer les frontières allemandes. Tous les économistes
européens, même de droite, s’accordent pour dire que l’arrivée de cette vague de réfugiés ne pèsera en rien sur l’économie allemande: les données
vont même dans l’autre sens. Au Canada également, nous ne croyons pas que les Libéraux prévoient accueillir les réfugiés
syriens par simple mesure caritative. Les nouveaux arrivants constituent un des
moyens utilisés pour pallier au
vieillissement de la population.
Plus généralement, il ne fait aucun doute que les
capitalistes sont à la recherche d’une main d’oeuvre sans cesse plus mobile et docile capable de se déplacer selon les intérêts ponctuels des
entreprises. Cet aspect de la réalité des migrants touche les
jeunes de plein fouet: c’est ainsi que plus de
500 000 jeunes diplômés espagnols ont quitté
leur pays depuis 2008. Fuyant la misère à cause du pillage et de
la déstructuration de l’économie de leurs pays, chaque année des milliers de jeunes Africains tentent de
franchir la Méditerranée en espérant
trouver l’el-dorado européen. Souvent ils déchantent assez rapidement car ils y sont contraints de rejoindre les
rangs au mieux du précariat ou de l’armée
industrielle de réserve et au pire ils y
laissent leur vie. Cette année,
ils étaient 22 000 à périr en méditerranée.
Une main d’oeuvre
mobile est une aubaine pour la classe dirigeante qui peut s’appuyer sur elle, sur la situation d’irrégularité dans laquelle certains
migrants se trouvent ou, comme c’est
le cas au Canada, à l’aide de mécanismes
discriminatoires comme le Programme des travailleurs immigrés, pour appliquer une pression à la baisse sur les
salaires. C’est pourquoi nous devons
non seulement accueillir les migrants mais aussi se battre à leurs côtés
pour garantir le respect de leurs droits en tant que travailleurs, y compris
celui de se syndiquer.
Autre corollaire important de la crise du
capitalisme en lien avec les migrants: la crise environnementale. Alors que
vient de se conclure la grand messe du climat à Paris, rappelons que le réchauffement climatique est bien réel et
a un impact direct sur les populations. En moyenne, ces dix dernières années,
ce ont 27,5 millions de personnes annuellement qui ont été forcées de quitter leur domicile pour des raisons
climatiques. D’ici 2050, on estime qu’ils excèderont
le milliard.
Nous estimons nécessaire d’utiliser cette journée de solidarité pour reconnaitre et valoriser l’apport des immigrants à notre société, un fait particulièrement saillant dans notre pays et à travers l’Amérique
du Nord en général. Nous devons nous rappeler leur contribution à différents
épisodes de l’histoire des mouvements progressistes et
ouvriers notamment leur participation à
l’organisation des
premiers syndicats ouvriers et agricoles, aux grandes grèves et même à la formation du Parti communiste du Canada
dans les années 1920. Nous
reconnaissons également leur apport
culturel comme un enrichissement pour tous.
Dans le contexte actuel, un mois environ après les attentats de Paris, il ne fait aucun
doute que l’accueil des réfugiés
syriens sera utilisé comme marotte par l’extrême
droite. En Allemagne, le parti fasciste PEGIDA continue de mobiliser des
milliers de personnes avec des slogans xénophobes,
racistes et islamophobes. En France, les arguments jusque là propres à la droite et au Front
national sont maintenant relayés par
le Premier Ministre socialiste, Manuel Valls. Le Canada n’est pas en reste: ces dernières
semaines, nous avons connu une recrudescence de crimes islamophobes.
Il est donc plus que nécessaire de manifester notre refus de classe contre ces politiques
haineuses et surtout de dévoiler
comment elles servent le système
capitaliste en divisant les travailleurs et en détournant l’attention des masses du
véritable ennemi. En tant
qu’internationalistes, nous
répétons sans cesse et aujourd’hui
plus que jamais que l’ennemi de la jeunesse,
des travailleurs et des masses populaires ne sont pas les immigrants, mais le
capitalisme. Les immigrants, au contraire, ont les mêmes intérêts que la grande majorité
du peuple, à
savoir se libérer
du joug de la barbarie de ce système
qui n’offre rien de mieux que
la guerre, la misère et la destruction de
notre environnement.
Que nous soyons Canadiens, Syriens ou
Trobriandais, nous devons nous unir pour mener notre lutte contre les
profiteurs qui, même s’ils prennent un malin plaisir à nous liguer les uns
contre les autres, ne nous discriminent plus lorsqu’il s’agit de nous exploiter.
C’est pourquoi la Ligue de
la jeunesse communiste revendique:
-
Le retrait immédiat du Canada de l’OTAN, main armée de l’impérialisme,
et de tout autre accord impérialiste;
l’instauration d’une politique étrangère de paix, basée sur le désarmement, le développement durable et
la solidarité entre les peuples;
-
Le retrait immédiat de tous les soldats canadiens mobilisés à
l’extérieur du pays, à commencer par les
troupes présentes en Ukraine et au
Moyen-Orient;
-
La fin immédiate du contrat d’armement
de 15 milliards de dollars conclu avec l’Arabie
Saoudite, l’un des principaux
fournisseurs de l’État islamique;
-
L’accueil de tous les immigrants et demandeurs d’asile, personne n’est
illégal;
-
L’abrogation de la Loi sur l’immigration,
du statut de réfugié qui donne la priorité aux nantis, créant de jure deux classes de migrants
ainsi que du Programme des travailleurs immigrés qui dépossède ces derniers de tous leurs droits. Nous réclamons également
que leurs droits en tant que travailleurs soient scrupuleusement respectés, y compris les droits syndicaux et de grève;
-
L’abrogation totale de la loi C-51 attaquant de front les libertés démocratiques
individuelles sous prétexte de la «guerre contre le terrorisme» ainsi que de la loi C-24
qui permet la déchéance de la nationalité
aux individus chargés
entre autres pour «terrorisme» et «haute trahison»
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jeudi 12 novembre 2015
La LJC-Q à La Havane pour la 19e Assemblée générale de la FMJD
Bien loin des célébrations bellicistes de
nos gouvernements pro-guerre et pro-entreprises, 2015 ne marque pas les 70 ans
d’une victoire militaire,
mais bien de la victoire des peuples contre le nazisme et le fascisme. Ce ne
sont pas tant les armées régulières
qui ont mis en déroute les armées nazies, mais en grande partie les résistants - dont les communistes - et le peuple
en général qui ont eu raison de la barbarie fasciste qui, rappelons-le, avait
pour but principal d’en finir avec le
communisme.
C’est
dans cette foulée que plusieurs
organisations se sont constituées
avec pour but d’assurer la paix dans le
monde et surtout d’en finir avec le système qui, comme l’affirmait Jaurès, «porte en lui la guerre comme la nuée porte l’orage», soit le capitalisme et, plus précisément,
son stade suprême soit l’impérialisme.
Les femmes se sont unies sous le sigle de la Fédération internationale démocratique des femmes; les travailleurs au
sein de la Fédération syndicale mondiale et les pacifistes en général se sont joints au
Conseil mondial de la paix. Les jeunes, quant à eux, avec pour slogan «jeunesse unie pour une paix durable» ont constitué la Fédération mondiale de la jeunesse démocratique (FMJD) dont l’activité pour la libération des peuples opprimés et pour l’amitié entre les peuples a réussi notamment à travers les Festivals mondiaux de la jeunesse
et des étudiants à rejoindre des milliers
de jeunes.
Aujourd’hui encore, cette organisation continue de représenter les intérêts de la jeunesse en lutte pour un monde meilleur empreint de solidarité, de paix et de transformation sociale alors
que le dernier Festival mondial de la jeunesse et des étudiants, organisé
par la FMJD, a réuni
près de 10 000 jeunes
militants anti-impérialistes à Quito en décembre 2013.
Certes, le monde a changé en 70 ans: de nombreux
pays ont gagné leur indépendance à l’issue
de luttes sanguinaires, plusieurs pays notamment en Europe de l’Est ont subi une contre-révolution qui les a forcés à abandonner leurs
principes anti-impérialistes tandis que d’autres ont bénéficié de nombreux avantages
sociaux grâce à la lutte des travailleurs. Il ne fait aucun
doute, le monde a changé de visage, mais ces
changements cosmétiques ne remettent
certainement pas en cause le point le plus important de l’analyse dressée par nos prédécesseurs
en 1945: l’ennemi principal de la
jeunesse (et du peuple en général) demeure l’impérialisme.
Avec le développement de la crise capitaliste et environnementale ces dernières années,
les contradictions inter-impérialistes
se sont exacerbées, générant
des conflits armés à travers le monde dont
les guerres en Syrie et en Ukraine.
Plus que de simples escarmouches, ces
conflits posent un danger réel à la paix alors qu’ils menacent d’entrainer de plus en plus de pays, de peuples, dans leur sillon arrosé du sang de fils de
travailleurs et paysans sans aucune autre alternative que de servir comme chair
à canon ou comme armée industrielle de réserve.
La jeunesse mérite un avenir meilleur. Un autre monde est possible: les forces vives
existent comme nous pouvons le voir présentement
en Palestine avec les jeunes révoltés qui refusent la colonisation sioniste et réclament leur droit à l’autodétermination ou ceux du Sahara Occidental qui
combattent quotidiennement l’occupation
militaire de leur pays par les troupes marocaines. Les pays d’Amérique
Latine ont, quant à eux, désigné
leur continent comme une «Région de paix» lors du dernier congrès de la CELAC alors que plusieurs pays se sont
débarrassés des bases militaires étrangères comme l’Équateur qui a fait de l’ambassadeur des États-Unis persona non
grata.
Que la prochaine Assemblée générale de la FMJD se tienne à Cuba envoie un message
positif à la jeunesse qui se bat
pour un avenir meilleur exempt de guerre.
Non seulement Cuba socialiste représente
en soi un pays dont il serait superflu rappeler les positions anti-impérialistes et les actions pour la paix malgré toutes les difficultés qui y sont liées; mais tenir cette réunion
en Amérique Latine permet également de souligner un certain renouveau
dans le mouvement anti-impérialiste
avec la contribution des processus de changements révolutionnaires qui se développent
au Venezuela, en Bolivie et en Équateur
pour ne nommer que ceux-ci.
Au cours de cet évènement, la YCL-LJC
entend prendre part aux discussions non seulement en tant qu’observateur mais en tant qu’acteur.
Rozhin Emadi, une des deux délégués canadiens et membre du Comité central exécutif de la YCL-LJC, affirme que «cette rencontre sera l’occasion d’échanger avec des
camarades venus du monde entier, d’apprendre
de leurs luttes et de réitérer notre solidarité
avec les peuples en luttes contre l’impérialisme, tout particulièrement avec le peuple cubain, mais également avec le peuple palestinien et
saharaoui. C’est notre devoir d’internationalistes. En même temps, nous irons à
La Havane dans le but de partager et faire valoir nos
propres perspectives sur certains sujets, à savoir les questions de genre, l’environnement ou les questions d’oppression nationale pour lesquels la YCL-LJC
propose des analyses qui contribueraient au renforcement du mouvement anti-impérialiste.»
«En effet, nous ne considérons pas les questions environnementales ou de
genre pour ne parler que de celles-ci comme auxiliaires mais plutôt comme partie intégrante à la lutte anti-impérialiste. Ce n’est pas par hasard que le viol, l’oppression
nationale ou la destruction de l’environnement
sont utilisés comme armes de guerre» ajoute Adrien Welsh, président de la Commission internationale de la
YCL-LJC et second délégué canadien lors de cet évènement.
«Notre présence à
Cuba sera aussi une occasion de montrer aux jeunes du
monde qu’il existe au Canada et
au Québec une jeunesse
anti-impérialiste, progressiste,
active et militante que les jeunes communistes sont plus à même de
représenter que les organes
officiels qui, dans les faits, n’ont
pour vocation que d’instrumentaliser la
jeunesse au profit des entreprises.
La FMJD constitue donc une plate-forme des
plus importantes pour les jeunes progressistes puisqu’elle permet que nos revendications soient entendues à l’international, bien loin des forums contrôlés par les tenants de l’hégémonie capitaliste; nous assure d’être écoutés et que nos actions seront soutenues tout
autour du globe.
La 19e Assemblée générale de la FMJD se déroulera
du 9 au 13 novembre prochain et réunira
plus d’une centaine de jeunes
venus de près d’autant de pays afin de coordonner leurs efforts dans la lutte anti-impérialiste et pour une paix durable.
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