lundi 26 mars 2018
Camp de formation de la YCL-LJC en Colombie Britannique
La YCL-LJC a tenue un camp de formation cette fin de semaine en Colombie-Brittanique. Ce fut l'occasion de débattre et d'échanger sur le mouvement étudiant, nos stratégies dans les mouvements de masse, l'économie politique, l'impérialisme et plusieurs autres sujets dans une atmosphère amicale. Un rapport plus complet sera publié sur le blog de Rebel Youth. Entre temps, voici quelques photos.
APÉtUL : communiqué sur l'enjeu de le pension alimentaire
Association des parents-étudiants de l'Université Laval (APÉtUL)
Bien que la pension alimentaire soit défiscalisée (c'est-à-dire non imposable) au sein des deux gouvernements, quatre (4) programmes sociaux québécois continuent de la considérer comme un revenu du parent receveur plutôt que comme un droit à l'enfant ainsi que l'a statué la Cour Suprême du Canada : l'aide financière aux études, l'aide sociale, l'aide au logement et l'aide juridique.
Dans le cas de l'aide financière aux études, c'est 100 % de la pension alimentaire, après une exemption de 1 200 $ par année par enfant, qui est détournée dans les coffres du gouvernement, alors qu'elle a été payée par le parent-payeur pour soutenir les soins et l'éducation de ses enfants.
Cette situation appauvrit un groupe de personnes et, chez les parents-étudiants, met en péril la concrétisation de leur projet d'études. De plus, elle crée des inéquités dans le calcul des différents étudiant-e-s en fonction de leur statut marital. Nous avons développé un argumentaire à ce sujet que vous retrouverez dans notre mémoire sur les parents-étudiants. En voici l'extrait.
Cette vignette est diffusée dans le cadre du point de presse du Collectif pour un Québec sans pauvreté auquel l'APÉtUL a participé hier. La vidéo de la conférence est disponible ici. L'APÉtUL fait également partie de la Coalition contre le détournement des pensions alimentaires qui est allée rencontrer les représentant-e-s de l'opposition officielle de la CAQ concernés par cette injustice.
Pour en savoir davantage sur le dossier du détournement des pensions alimentaires, la Fédération des associations de familles monoparentales et recomposées du Québec (FAFMRQ) a préparé un dossier en ligne ainsi qu'un mémoire.
Nous vous remercions à l'avance de votre soutien!
Dans le cas de l'aide financière aux études, c'est 100 % de la pension alimentaire, après une exemption de 1 200 $ par année par enfant, qui est détournée dans les coffres du gouvernement, alors qu'elle a été payée par le parent-payeur pour soutenir les soins et l'éducation de ses enfants.
Cette situation appauvrit un groupe de personnes et, chez les parents-étudiants, met en péril la concrétisation de leur projet d'études. De plus, elle crée des inéquités dans le calcul des différents étudiant-e-s en fonction de leur statut marital. Nous avons développé un argumentaire à ce sujet que vous retrouverez dans notre mémoire sur les parents-étudiants. En voici l'extrait.
Cette vignette est diffusée dans le cadre du point de presse du Collectif pour un Québec sans pauvreté auquel l'APÉtUL a participé hier. La vidéo de la conférence est disponible ici. L'APÉtUL fait également partie de la Coalition contre le détournement des pensions alimentaires qui est allée rencontrer les représentant-e-s de l'opposition officielle de la CAQ concernés par cette injustice.
Pour en savoir davantage sur le dossier du détournement des pensions alimentaires, la Fédération des associations de familles monoparentales et recomposées du Québec (FAFMRQ) a préparé un dossier en ligne ainsi qu'un mémoire.
Nous vous remercions à l'avance de votre soutien!
mercredi 28 février 2018
Bella Ciao
Alla
matina, mi son svegliata, o bella ciao bella ciao bella ciao ciao ciao...
Voici les premiers vers d’une chanson connue
internationalement. Reconnue comme hymne de la Résistance du peuple italien
contre la fascisme, Bella Ciao est entonnée par pratiquement tous les progressistes qui s'identifient à
ce chant traduit en une soixantaine de langues, que ce soit
en italien, français,
anglais ou en arabe par exemple. Mais
quelle en est l’origine ?
jeudi 22 février 2018
mercredi 21 février 2018
Invitation à la manifestation du 8 mars organisée par Femmes de diverses origines
MANIFESTATION 8 MARS 2018! FEMMES DEBOUT – contre le Capitalisme et le Patriarcat!
Déclaration de femme de diverses origines
« Ceux qui ne bougent pas, ne remarquent pas leurs chaînes » Rosa Luxembourg, assassinée à Berlin le 15 janvier 1919.
Jeudi, 8 mars 2018 17h30-20h
Place du 6 Décembre
Coin Côte-des Neiges (Métro Côtes-des-Neiges)
Place du 6 Décembre
Coin Côte-des Neiges (Métro Côtes-des-Neiges)
« (Je) m’abstiendrai de retenir une seule voix, un seul fil, une seule femme exceptionnelle qui serait mon inspiration. Ce sont toutes ces femmes, leur humanité, leurs colères, leur militantisme, leur persistance et leur sens de l’humour, qui font ce chœur exceptionnel qui ne cesse de m’inspirer. » — Abby Lippmann, membre de FDO, décédée à Montréal le 26 décembre 2017.
En organisant pour la 17e année consécutive la marche de la Journée internationale des femmes le 8 mars 2018 à Montréal, nous sommes inspirées par les citations de ces femmes héroïnes, qui nous enseignent qu’il faut bouger pour se libérer, et qu’il faut bouger collectivement.
Nous saluons le courage des femmes qui ont dénoncé les agressions et le harcèlement d’ hommes en situation de pouvoir et la vague de la campagne #MeToo#. Nous reconnaissons qu’il y a encore des femmes partout dans le monde qui n’ont pas pu dénoncer les agressions subies car c’est trop dangereux pour elles elles fuient la guerre ou leurs droits ne sont pas reconnus. Nous voulons démolir les systèmes qui permettent à ces relations de pouvoir et au patriarcat de persister, pour que plus aucune femme n’ait à craindre de perdre son emploi, sa réputation ou sa vie afin de vivre dans le respect et la dignité.
Ce mouvement de dénonciation s’est déclenché dans un contexte mondial de montée extrême du racisme du fascisme, de la guerre, de destruction environnementale et de génocide. Face à cette conjoncture de souffrance et de violence généralisée, les femmes disent c’est assez! Mobilisons-nous!
Finissons avec le système patriarcal et capitaliste qui nous opprime, qui se carbure à la violence contre nous et nos enfants, qui se nourrit de la guerre et de la militarisation, qui dépend de l’exploitation et de la croissance des inégalités.
Finissons avec les agressions impérialistes et colonialistes qui violent notre mère terre, entrant dans ses viscères pour arracher ses richesses les plus précieuses, la dévastant et la détruisant. Finissons avec le pouvoir impérialiste qui viole également nos femmes, qui s’approprie de leurs corps pour les exploiter à son profit comme notre mère terre.
Nous refusons la logique individualiste capitaliste, qui prétend que tous les maux sont tributaires à l’individu.e, et que c’est à chacun.e de s’en sortir en travaillant plus, en prenant plus de médicaments, en étant plus compétitif.ve. Nous refusons les explications simplistes des causes du harcèlement sexuel et des agressions. Ces actes doivent être compris comme étant résultante d’une masculinité toxique dérivant d’un déséquilibre de pouvoir genré. Cette inégalité entre les sexes est générée par le patriarcat qui normalise l’objectification des femmes et favorise une socialisation des garçons et des hommes reposant sur le sentiment d’être privilégié.
Nous refusons le racisme et la haine, la discrimination et le mépris! Nous croyons fermement que la société ne peut pas être libre et égalitaire si un groupe ou un.e seul.e individu.e est discriminé.e et exploité.e. La libération des femmes dépend de la libération de tout le peuple.
Nous respectons les luttes de chaque groupe de femmes – les priorités que nous nous donnons pour affronter nos problèmes – mais nous croyons aussi qu’il faut bâtir un mouvement fort et nous unir contre l’ennemi commun – le système capitaliste et ses défenseurs ainsi que le patriarcat.
UNISSONS NOS VOIX ET NOS ACTIONS POUR DIRE C’EST ASSEZ!
Non aux coupures dans les groupes de femmes! Non à l’appauvrissement des plus pauvres de la société, au démantèlement du système de santé et des services sociaux, et de l’éducation.
Non à la guerre contre les peuples et les pays – non au commerce des armes et des équipements militaires! Non à l’envoi de nos jeunes à l’autre bout du monde pour combattre d’autres jeunes travailleurs et travailleuses!
Non aux agressions sexuelles, non aux viols individuels et collectifs, non à l’exploitation sexuelle des femmes, non aux mariages forcés, non aux viols en contexte de guerre!
FEMMES DEBOUT! UNISSONS NOS FORCES! PRENONS NOTRE POUVOIR!
VIVE LA JOURNÉE INTERNATIONALE DES FEMMES
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