lundi 17 octobre 2016
dimanche 16 octobre 2016
Demain : Action contre le blocus états-uniens contre Cuba
Dans le cadre d'un appel international contre la blocus et pour la restitution de la base navale de Guantanamo à Cuba, la Table de concertation et de solidarité Québec-Cuba vous invite à une ligne de piquetage à Montréal.
Lundi
17 octobre de 17h00 à 17h30 devant l'église St-James United au 463, rue
Sainte-Catherine Ouest (près de la rue St-Alexandre)
ET
de 17h30 à 18h00 devant le consulat des États-Unis, intersection rue St-Alexandre et le boulevard René-Lévesque.
ET
de 17h30 à 18h00 devant le consulat des États-Unis, intersection rue St-Alexandre et le boulevard René-Lévesque.
Le 17 octobre 2016 la jeunesse et la société civile cubaine
organisent une série d'activités pour souligner leur rejet de la politique
injuste que les États-unis maintiennent contre le peuple cubain depuis 54 ans.
En appui à cette initiative ont lieu à travers le monde des activités pour
dénoncer le Blocus et exiger la remise de la base navale de Guantanamo à Cuba.
Nous sommes fières d’inscrire Montréal et le Québec dans cette activité.
Le 17 décembre 2014, Cuba et les États-Unis ont annoncé qu'ils
entamaient des négociations pour normaliser leurs relations. Le Président Obama
a déclaré lors de sa visite à la Havane en mars 2016 que le blocus nuisait au
peuple cubain et il a du même coup demandé à ce que le Congrès de son pays y
mette fin. Rappelons que le blocus a été imposé en 1960 avec l’objectif de
créer « [...] la désillusion et le découragement basés sur l’insatisfaction et
les difficultés économiques [...] et le refus d’accorder à Cuba de l’argent et
des fournitures dans le but de faire diminuer les salaires réels et monétaires
et de provoquer la famine, le désespoir et le renversement du gouvernement
[...] ».
Néanmoins, concrètement le blocus est toujours en vigueur : le
dernier bilan des coûts occasionnés sur l’économie cubaine est de 4 106
millions $ d'avril 2015 à avril 2016 ce qui représente une augmentation de plus
de 250 millions $ par rapport à la même période antérieure. Les sanctions
contre les institutions qui font affaire avec Cuba ont augmentées, y compris
dans leur application extraterritorial ce qui affecte le Québec.
Opposition de la communauté internationale
Chaque
année depuis 1992, l’Assemblée générale des Nations Unies adopte presque à
l’unanimité une résolution intitulée « Nécessité de lever le blocus économique
commercial et financier appliqué à Cuba par les États-Unis d’Amérique ». La
résolution exhorte tous les États à s’abstenir de promulguer de telles mesures,
demande à ceux qui les appliquent de tout faire pour les abroger et rappelle
que la Charte des Nations Unies et le droit international « consacrent la
liberté de commerce et de navigation ». Au dernier vote du 27 octobre 2015, 191
pays ont voté pour la résolution et 2 ont voté contre, les États-Unis et
Israël.
ÉTATS-UNIS, METTEZ FIN AU BLOCUS CONTRE CUBA
ET RESTITUEZ LA BASE NAVAL DE GUANTANAMO MAINTENANT!
Nous
demandons au Président Obama et au Congrès des États-Unis de lever le blocus
contre Cuba, de lui restituer son territoire à Guantanamo et d’établir avec
Cuba des relations conformes à la Déclaration relative aux principes du droit
international touchant les relations amicales et la coopération entre les
États, conformément à la Charte des Nations Unies.
Nous appelons à toues les nations qu'ils appuient la résolution que Cuba présentera à l'Assemblée général des Nations unie le 27 octobre comme ils l'ont fait très majoritairement depuis 24ans. Nous dénonçons que malgré un discours d'ouverture es États-Unis maintiennent avec toutes ses effets néfaste sur le peuple cubain le blocus inhumain contre Cuba.
Nous appelons à toues les nations qu'ils appuient la résolution que Cuba présentera à l'Assemblée général des Nations unie le 27 octobre comme ils l'ont fait très majoritairement depuis 24ans. Nous dénonçons que malgré un discours d'ouverture es États-Unis maintiennent avec toutes ses effets néfaste sur le peuple cubain le blocus inhumain contre Cuba.
lundi 10 octobre 2016
Grande marche pour le salaire minimum à 15$ le 15 octobre à Montréal
Rendez-vous le 15 octobre 2016 à 11h
au parc Le Prévost à Montréal
au parc Le Prévost à Montréal
TANNÉ DES PINOTTES DU PATRONAT!
La campagne 5-10-15 était lancé le 7 octobre dernier. Voici le communiqué :
À l’occasion de la Journée mondiale
d’action pour le travail décent, c’est sous le thème « Il nous faut plus
que ça » que les membres de la campagne 5-10-15 ont procédé au lancement de dix journées d’action, ce matin, à la Maison du développement durable, à Montréal.
La campagne 5-10-15 est menée par le Front de défense des non-syndiquéEs, le Collectif pour un Québec sans pauvreté, la Centrale des syndicats du Québec (CSQ), la Confédération des syndicats nationaux (CSN) et la Centrale des syndicats démocratiques (CSD).
Trois revendications majeures
Deux porte-parole de la campagne, Mélanie Gauvin, du Front de défense des non-syndiquéEs, et Virginie Larivière, du Collectif pour un Québec sans pauvreté, ont présenté les trois revendications sur lesquelles la campagne repose :
« La précarité économique s’accentue encore plus lorsqu’une personne doit s’absenter pour la maladie ou pour une responsabilité familiale. Les normes minimales du travail au Québec ne prévoient aucun congé payé pour couvrir ces urgences. De plus, la vie personnelle et familiale devient un casse-tête quand l’employeur ne donne pas l’horaire de travail à l’avance. Les normes minimales du travail n’imposent aucune obligation concernant l’attribution des horaires. Des solutions existent et doivent être mises de l’avant le plus vite possible », explique Virginie Larivière.
Une situation inéquitable et inhumaine
Pour sa part, la présidente de la CSQ, Louise Chabot, a précisé que ces travailleurs précaires sont principalement des femmes, et qu’on relève parmi eux une surreprésentation de personnes issues de l’immigration ou des minorités racialisées.
« Vivre avec moins que le salaire viable représente un défi impossible et un fardeau quotidien lourd à supporter. Imaginez le défi budgétaire et de conciliation travail-famille-étude quand l’enfant d’une travailleuses au salaire minimum tombe malade. Une visite à l’urgence, c’est une journée de salaire coupée, donc 75 $ de moins sur sa paye déjà maigre de 350 $ par semaine! Il faut renverser cette tendance à la précarisation du travail. L’emploi devrait donner accès à un salaire décent, aux avantages sociaux, à la formation et à l’avancement. Le statu quo est profondément injuste et inéquitable », explique Louise Chabot.
Deux mythes à dégonfler
Par ailleurs, le 2e vice-président de la CSN, Jean Lacharité, a démystifié l’un des arguments erronés les plus souvent invoqués pour s’opposer à la hausse du salaire minimum.
« Plusieurs personnes, et même certains travailleurs à bas salaire, craignent que l’effet d’une augmentation de 40 % du salaire minimum soit annulé par l’explosion des prix. Il faut dégonfler ce mythe. Le coût de la main-d’œuvre ne représente qu’une petite part du prix. Même dans les services, c’est souvent autour de 15 %. Ça veut dire, par exemple, que pour un repas au resto de 10 $, le salaire minimum à 15 $ ferait peut-être monter le prix à 10,60 $. En contrepartie, une telle hausse du salaire minimum aurait un impact indéniable sur l’activité économique en plus de contribuer à accroître le niveau de vie de milliers de travailleuses et travailleurs et de leur famille », soutient Jean Lacharité.
De son côté, le président de la CSD, François Vaudreuil, a réfuté l’affirmation laissant croire que la hausse du salaire minimum allait tuer des emplois dans les PME. « Il faut rappeler que plus de 90 % des emplois au salaire minimum se retrouvent dans le secteur des services et ne sont donc pas soumis à la concurrence étrangère. Les analyses de l’Institut de la statistique du Québec et bon nombre d’études internationales démontrent que les effets négatifs pour l’emploi sont nuls ou négligeables », renchérit FrançoisVaudreuil.
Des « pinottes » pour le patronat
Finalement, les représentants du Centre des travailleurs et travailleuses immigrants (CTI), Carmelo Monge, et du Collectif estrien pour un Québec sans pauvreté, Huguette Latendresse, ont respectivement invité la population à participer à la grande manifestation pour le salaire minimum à 15 $ qui aura lieu le 15 octobre à Montréal, ainsi qu’aux autres actions qui se tiendront dans les régions.
Mentionnons, en terminant, que les participantes et participants au lancement ont conclu l’événement par une marche symbolique qui s’est déplacée notamment devant le bureau du premier ministre et de la Fédération canadienne de l’entreprise indépendante. Des sacs de « pinottes » ont été symboliquement déposés aux deux endroits.
La campagne 5-10-15 est menée par le Front de défense des non-syndiquéEs, le Collectif pour un Québec sans pauvreté, la Centrale des syndicats du Québec (CSQ), la Confédération des syndicats nationaux (CSN) et la Centrale des syndicats démocratiques (CSD).
Trois revendications majeures
Deux porte-parole de la campagne, Mélanie Gauvin, du Front de défense des non-syndiquéEs, et Virginie Larivière, du Collectif pour un Québec sans pauvreté, ont présenté les trois revendications sur lesquelles la campagne repose :
- Le droit d’obtenir son horaire de travail 5 jours à l’avance,
- Le droit de disposer de 10 jours de congés payés par année pour la maladie ou les responsabilités familiales,
- Le droit de gagner un salaire minimum de 15 $ l’heure.
« La précarité économique s’accentue encore plus lorsqu’une personne doit s’absenter pour la maladie ou pour une responsabilité familiale. Les normes minimales du travail au Québec ne prévoient aucun congé payé pour couvrir ces urgences. De plus, la vie personnelle et familiale devient un casse-tête quand l’employeur ne donne pas l’horaire de travail à l’avance. Les normes minimales du travail n’imposent aucune obligation concernant l’attribution des horaires. Des solutions existent et doivent être mises de l’avant le plus vite possible », explique Virginie Larivière.
Une situation inéquitable et inhumaine
Pour sa part, la présidente de la CSQ, Louise Chabot, a précisé que ces travailleurs précaires sont principalement des femmes, et qu’on relève parmi eux une surreprésentation de personnes issues de l’immigration ou des minorités racialisées.
« Vivre avec moins que le salaire viable représente un défi impossible et un fardeau quotidien lourd à supporter. Imaginez le défi budgétaire et de conciliation travail-famille-étude quand l’enfant d’une travailleuses au salaire minimum tombe malade. Une visite à l’urgence, c’est une journée de salaire coupée, donc 75 $ de moins sur sa paye déjà maigre de 350 $ par semaine! Il faut renverser cette tendance à la précarisation du travail. L’emploi devrait donner accès à un salaire décent, aux avantages sociaux, à la formation et à l’avancement. Le statu quo est profondément injuste et inéquitable », explique Louise Chabot.
Deux mythes à dégonfler
Par ailleurs, le 2e vice-président de la CSN, Jean Lacharité, a démystifié l’un des arguments erronés les plus souvent invoqués pour s’opposer à la hausse du salaire minimum.
« Plusieurs personnes, et même certains travailleurs à bas salaire, craignent que l’effet d’une augmentation de 40 % du salaire minimum soit annulé par l’explosion des prix. Il faut dégonfler ce mythe. Le coût de la main-d’œuvre ne représente qu’une petite part du prix. Même dans les services, c’est souvent autour de 15 %. Ça veut dire, par exemple, que pour un repas au resto de 10 $, le salaire minimum à 15 $ ferait peut-être monter le prix à 10,60 $. En contrepartie, une telle hausse du salaire minimum aurait un impact indéniable sur l’activité économique en plus de contribuer à accroître le niveau de vie de milliers de travailleuses et travailleurs et de leur famille », soutient Jean Lacharité.
De son côté, le président de la CSD, François Vaudreuil, a réfuté l’affirmation laissant croire que la hausse du salaire minimum allait tuer des emplois dans les PME. « Il faut rappeler que plus de 90 % des emplois au salaire minimum se retrouvent dans le secteur des services et ne sont donc pas soumis à la concurrence étrangère. Les analyses de l’Institut de la statistique du Québec et bon nombre d’études internationales démontrent que les effets négatifs pour l’emploi sont nuls ou négligeables », renchérit FrançoisVaudreuil.
Des « pinottes » pour le patronat
Finalement, les représentants du Centre des travailleurs et travailleuses immigrants (CTI), Carmelo Monge, et du Collectif estrien pour un Québec sans pauvreté, Huguette Latendresse, ont respectivement invité la population à participer à la grande manifestation pour le salaire minimum à 15 $ qui aura lieu le 15 octobre à Montréal, ainsi qu’aux autres actions qui se tiendront dans les régions.
Mentionnons, en terminant, que les participantes et participants au lancement ont conclu l’événement par une marche symbolique qui s’est déplacée notamment devant le bureau du premier ministre et de la Fédération canadienne de l’entreprise indépendante. Des sacs de « pinottes » ont été symboliquement déposés aux deux endroits.
samedi 8 octobre 2016
Appel pour la 6e campagne annuelle du coquelicot blanc du Collectif Échec à la guerre
Le Collectif Échec à la guerre mène, cet automne, sa sixième campagne annuelle du coquelicot blanc. Comme c'est l'habitude depuis quelques années, le coup d’envoi officieux de la campagne a été fait le 21 septembre dernier, à l’occasion de la Journée internationale de la paix, par la publication d’un texte dans le quotidien Le Devoir et dans La Presse+, intitulé Le Canada, défenseur de la paix... vraiment ? Ce texte se terminait par un appel à porter le coquelicot blanc cet automne « pour signifier l’opposition citoyenne aux visées militaristes du gouvernement Trudeau » . Il est également disponible ici (Lettre du 21 septembre), avec la liste mise à jour de ses 57 signataires, artistes, intellectuel.le.s et représentant.e.s d'organismes.
L'ORIGINE DE CE SYMBOLE DE PAIX
L’idée du port d’un coquelicot blanc a commencé à germer en Angleterre en 1926.
La Première Guerre mondiale avait entraîné la mort de 10 millions de soldats et d’un million et demi de civils. Le coquelicot rouge était porté depuis 1921 à la mémoire des soldats morts à cette guerre et les fonds recueillis par sa vente allaient au Haig Fund qui venait en aide aux vétérans et à leur famille. Le mouvement pacifiste No more War Movement proposa de remplacer les mots Haig Fund au centre du coquelicot par No more War (Jamais plus la guerre). Devant l’échec de cette proposition, l’idée de créer une fleur différente commença à prendre forme…
En novembre 1933, dans le contexte d’une nouvelle montée des tensions au niveau international, la première campagne du coquelicot blanc fut lancée en Angleterre par la Co-operative Women’s Guild (CWG). Le coquelicot blanc ne se voulait pas un affront au coquelicot rouge. D’ailleurs, plusieurs des femmes de ce mouvement avaient perdu un membre de leur famille à la guerre. Elles voulaient plutôt commémorer toutes les victimes de la guerre et contrer les courants militaristes de l’époque. L’année suivante, le Peace Pledge Union, mouvement pacifiste nouvellement formé, appuya cette initiative et prit par la suite en charge la production et la vente des coquelicots blancs, jusqu’à aujourd’hui.
Au Canada, la campagne des coquelicots blancs prend son essor en 1998, suite à la publication d’un article dans le bulletin de Conscience Canada, le mouvement des objecteurs de conscience à l’impôt militaire. L’année suivante, un dépliant d’appui à cette campagne a circulé parmi des groupes actifs pour la paix dans différentes régions du pays. Un vétéran de la Deuxième Guerre mondiale, Frank Knelman, expliquait alors qu’il voulait non seulement se souvenir de ceux qui ont combattu et souffert comme soldats, mais qu’il voulait consacrer ses énergies à empêcher la guerre et à mettre fin au militarisme. « Je veux me souvenir que 95 % des victimes dans les guerres modernes sont des civils » disait-il.
Nous savons que les guerres du 20e siècle ont causé la mort de plus de 200 millions de personnes. Et nous constatons, depuis plusieurs années, la recrudescence du militarisme au Canada : participation à la guerre d’occupation en Afghanistan, aux bombardements contre la Libye et maintenant en Irak/Syrie, croissance vertigineuse des dépenses militaires, promotion d’une nouvelle prospérité économique fondée sur l’expansion de l’industrie militaire, omniprésence de l’armée et glorification de la guerre par diverses commémorations…
POURQUOI LE PORTER AUJOURD'HUI ?
L’afflux en Europe d’une partie seulement des millions de réfugié.e.s fuyant les guerres en Afghanistan, en Irak, en Libye et en Syrie nous a révélé certaines des conséquences effroyables de ces guerres, trop souvent occultées. Et les réactions des gouvernements ont démontré leur absence de considérations humanitaires.
Depuis un an, l'élection d'un gouvernement libéral n'a pas significativement changé les orientations militaristes du Canada au cours des dernières années : maintien des ventes de matériel militaire à l'Arabie saoudite, participation des forces spéciales canadiennes à la guerre en Syrie, absence de retour critique sur la plus longue guerre de l'histoire du Canada en Afghanistan, etc.
Porter le coquelicot blanc est un geste simple que nous posons dans le but de commémorer l’ensemble des victimes de la guerre et d’inscrire cette commémoration dans notre volonté d’en finir avec la guerre et ses faux prétextes.
Les objectifs ne sont pas d’antagoniser les vétérans, les familles de militaires et autres proches qui commémorent la perte d’êtres chers, ni d’opposer le port du coquelicot blanc à celui du coquelicot rouge; mais bien d’exercer notre devoir de mémoire envers toutes les victimes de la guerre – hommes, femmes et enfants – dont la très grande majorité sont des civils et non des soldats et de nous dissocier de la tendance des pouvoirs politiques qui saisissent l’occasion du “souvenir” pour justifier les guerres et le militarisme croissant.
CE QUE VOUS POUVEZ FAIRE DÈS MAINTENANT
- Relayer ce message à vos propres réseaux, au travail, à l'école, en famille, entre ami.e.s.
- Utiliser le matériel visuel disponible ici, pour publiciser la campagne sur votre site Internet, votre page Facebook et votre profil
- Faire la promotion de cette campagne autour de vous, notamment en portant le coquelicot blanc bien avant le 11 novembre.
- COMMANDER DES COQUELICOTS ET DES CARTES
Commandez-les en ligne – en paquets de 10 – en cliquant sur ce lien : acheter-coquelicot
Ou approvisionnez-vous en contactant nos dépôts régionaux
Vous pouvez aussi nous écrire à info@echecalaguerre.org
- Coquelicots : Si possible, nous vous demandons de les commander dès maintenant; contribution demandée : 1 $/pièce, en les revendant ensuite au même prix. Ce montant nous permet tout juste de défrayer les coûts de production des coquelicots et des cartes, les frais d’expédition et autres frais de base de la campagne.
- Cartes : des cartes postales sont disponibles, expliquant l'historique du coquelicot blanc et le sens à donner à cette campagne. Leur coût est inclus dans le 1 $ / coquelicot
- Dans plusieurs régions du Québec, des organismes ou des individus agissent comme lieux d’approvisionnement local. Si votre organisme désire s'ajouter à cette liste, SVP nous en informer, en indiquant les coordonnées pour vous rejoindre et le nom de la personne à contacter.
En 2016, portons le coquelicot blanc en solidarité avec les millions de réfugié.e.s de guerre et pour marquer notre opposition aux guerres et au militarisme !
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